Dijon - L’argent de l’eau -
Détournement de fonds de 1 million 250 000 euros par an
Depuis le 1er janvier 2011, Véolia Propreté assure la collecte des ordures ménagères sur le grand Dijon ( 260 000 habitants ). Début 2012, le contrat Véolia Eau est maintenu avec en prime, non pas une baisse du prix mais un détournement de l’argent public de l’eau. Un million 250 000 euros par an c’est environ 6 € par habitant au service du bling-bling du prince local. Santini, patriarche de l’Eau de France, quitte le Sédif en contemplant les émules de sa politique, Rebsamen en tête, le sénateur-maire royaliste de DIJON. Les générations futures risquent de payer cher l’incompétence républicaine des « Papis sarkos & Co ».
Un article d'Infos dijon :
" Dijon et Suez prolonge un mariage … durable
Le Grand Dijon et la Lyonnaise des Eaux ont prolongé le contrat qui les liait jusqu’en 2021. Il est en place depuis le 1er janvier. Une société va être créée entre le Grand Dijon et l’entreprise. Ses gains vont alimenter un fonds de solidarité, un fonds de développement durable et une fondation culturelle. Le prix de l’eau, lui, ne change pas.
Entre Dijon et la Lyonnaise des Eaux, ...
Pourquoi ce nouveau contrat ?
Cette renégociation trouve sa cause dans une raison technique, un arrêt du Conseil d’Etat, baptisé « arrêt Olivet ». « Il prévoit une « clause de revoyure tous les 5 ans », précise Jean-Louis-Chaussade. ...
Régie ou délégation de service public ?
Pour François Rebsamen, Sénateur-maire de Dijon, c’est la 2e solution qui est la meilleure est la moins coûteuse. La régie obligeant la collectivité à reprendre à son compte les employés de la Lyonnaise. Entraînant ainsi une hausse des coûts de fonctionnement. « Pour nous, la délégation de service public est une forme appropriée, à condition que la collectivité elle-même ait la possibilité de contrôler les objectifs que nous nous sommes fixés collectivement ». François Rebsamen jugeant ce comité de surveillance comme « une grande innovation ».
En précisant que derrière la société, il fallait aussi voir la naissance d’une « marque locale », qu’on imagine sur le modèle de Divia, créé avec son partenaire Kéolis.
( igepac : à Dijon l'eau coûte 50 % plus cher que chez la voisine, Beançon qui est en régie. Normal, à Besançon la municipalité est de gauche. )
Deux fonds et une fondation
Qui dit société dit, on peut l’espérer, gains. Ces gains, le Grand Dijon et la Lyonnaise ont déjà prévu les moyens de les réinjecter. A travers, en premier lieu la création d’un fonds de solidarité : « Nous avons voulu un acte de solidarité vers ceux qui ont des difficultés à payer leur facture d’eau. Il sera doté par Suez de 250 000 euros par an ».
Un 2e fond, tourné lui vers le développement durable, sera pourvu, toujours selon François Rebsamen, de 500 000 euros par an.
Enfin, les deux entités ont prévu la création d’une fondation culturelle. « Suez a aussi promis 500 000 euros par an », explique le Sénateur-maire de Dijon.
Ce type de contrat a déjà été proposé et signé par des villes australiennes de premier plan. Dijon est la première ville française à le mettre en place à son tour. "
L'article complet ici :
http://www.infos-dijon.com/article.php?sid=25644&thold=0
PS qui n'a rien à voir : à Dijon non plus, PS qui n'a rien à voir !
! HONTEUX !
! Il n’est pas fier d’être bourguignon !
igepac descerne son premier château d'âne 2012
à DIJON
pour sa gestion " citoyenne " de l'eau